L’économie de la mer : un océan de projets

Les objectifs

La Nouvelle-Calédonie souhaite développer le tourisme lié à la mer, la préservation du lagon, la pêche raisonnée, le développement de l’aquaculture mais également le développement des infrastructures maritimes.

 

En 2019 :
4 888 779 tonnes ont transité par le port autonome de Nouméa

 

Il est projeté de dédier une zone aux infrastructures d’entretien des grands navires.

 

L’économie bleue repose sur une zone maritime étendue (environ 1.500.000 km2) dont la richesse permet d’offrir un panel diversifié d’activités économiques liées à la mer.

 

Une grande partie du lagon est quant à lui inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Pêche en eaux bleues
Port autonome

Le port autonome de Nouméa est le premier en volume de l'Outre-Mer français et parmi les dix premiers de France grâce à l'exportation de minerai.

Il voit transiter plus de 4,5 millions de tonnes de fret et de minerai chaque année.

 

4,9% des entreprises calédoniennes et 2,2% des emplois du secteur marchand sont liés à l’économie bleue en Nouvelle-Calédonie.

L’économie bleue représente un secteur d’avenir en Nouvelle-Calédonie et de nombreuses opportunités sont à saisir. L’OCDE prévoit ainsi un doublement de la valeur ajoutée liée à l’économie bleue d’ici 2030. Le développement de la filière aquacole en Nouvelle-Calédonie est un exemple de succès économique lié à l’économie bleue (800 tonnes de crevettes sont exportées chaque année).